Zorro, chéri chéri, même en négatif t'es positif.
Zorro, vous en avez entendu parlé non ?
Oui mais non, bien sûr, pas un cavalier qui surgit hors de la nuit, tchouk, tchouk, tchouk, d’un Z qui veut dire Zorro . Pas ce lui-là. Enfin si, celui-là mais pas la version série télé Disney qui a 50 ans. Non, la version comédie musicale qui va bientôt investir les Folies Bergère avec Laurent Ban dans le rôle titre.(Et là je ne résiste pas à l’envie de vous mettre en lien ce post de ma chère amie Yvonne.)
Bref, une nouvelle comédie musicale à l’affiche, vous devez sans doute vous dire « voilà qui va réjouir notre chère Poudre de fée ! ».
Mais en fait non, pas tant que ça.
Déjà, Zorro, ça a jamais été mon truc plus que ça. A la sortie de la série, je n’étais même pas une lueur lubrique dans le regard de mes parents, eux-mêmes pas en âge d’avoir des lueurs lubriques dans le regard de toute façon. Problème générationnel.
Et ça a beau avoir êté rediffusé dans Disney Channel sur France 3 dans les années 80, moi, c’était surtout Winnie l’Ourson qui m’intéressait.
Vous remarquerez que 25 ans plus tard, les choses n’ont pas beaucoup changé.
Ce sont les Gypsy Kings qui signent la musique du spectacle, de leurs plus grands tubes.Les Gypsy Kings !!!
S’il y a bien un style de musique que j'abhorre, c’est ça,
c’est les Gypsy Kings . Non pas que ça m’intéresse pas ou que j’aime pas trop.
Non, je déteste carrément. A choisir, je préfèrerais me coincer la tête dans
une portière de voiture plutôt que d’avoir à subir Djobi Djoba.
Donc là c'est trop.Un type avec une cape qui danse le flamenco sur Bamboleo, ça va vraiment pas le faire.
Après c’est dommage parce que je suis plutôt ouverte comme fille. (Les Gypsy Kings mis à part j’entends.)
Même si je préfère généralement les spectacles où les chansons ont été écrites exprès.
Encore que pour Zorro, il y a bien une chanson que j’aurais aimé y trouver et qui même m’aurait poussée à venir voir le show dès la première représentation et en payant plein pot.
C’est celle-là, tube assez peu connu et qui pourtant a bercé ma tendre enfance : Je chante parce que je t’aime! Époque Disney Channel d’ailleurs !
Vous noterez la richesse du vocabulaire et la subtilité du texte. Et si vous aussi vous vous demandez qui est Douglas Fairbanks (mystère que j’ai résolu il y a quelques semaines seulement), voilà, c’est lui :